Voici une manière originale et pour le moins intéressante de traiter de l’histoire de l’art. De quelle manière tant chez Turner que Monet plus tard, les effets de la pollution atmosphérique ont ils été à l’origine de leurs visions picturales et ont retenti dans leurs peintures. Tel est l’angle d’attaque examiné par deux chercheurs français et américain, Anna Lea Albright, du Laboratoire de météorologie dynamique de Paris, et Peter Huybers, de l’université de Harvard.
Tel est le sujet de l’article publié dans la revue PNAS (The Proceedings of the National Academy of Sciences) et que nous avons traduit pour nos lecteurs de WUKALI. Superbe occasion pour nous étant au demeurant donnée d’illustrer l’article des oeuvres de ces artistes
Pierre-Alain Lévy