When Barbarians asked for shelter to the Roman Empire

Par dizaines de milliers, hommes, femmes, enfants, tous terrorisés, se pressaient à la frontière, prêts à mourir pour avoir le droit de pénétrer à l’intérieur de l’Empire, où ils se sentiraient enfin en sécurité. Certains se plongeaient dans l’eau jusqu’à mi-corps, en agitant les bras afin d’attirer l’attention des soldats de l’autre côté du fleuve.

Ces réfugiés en puissance qui demandaient désespérément qu’on les laisse entrer étaient pourtant eux-même de redoutables et valeureux guerriers, mais ceux qui les bousculaient étaient plus redoutables encore; car l’ennemi qui les pressait et les poussait hors de chez eux, et qui, heureusement, était encore loin, semait la terreur sur son passage, faisant preuve d’une brutalité sans limite et utilisant des méthodes de combats inédites, basées sur la mobilité de la cavalerie, sur la rapidité d’exécution et sur une discipline de fer. Ces barbares parmi les barbares, où l’image qu’ils se plaisaient à donner d’eux afin de terroriser leurs adversaires, pratiquaient le sacrifice humain, la mutilation, le supplice du pal; ils écrasaient le sein droit de leurs femmes afin qu’elles puissent tirer à l’arc à double courbure, comme les hommes; et ils ne faisaient pas de quartier, les vaincus étant exterminés sans pitié ( ces massacres étaient en fait réservés exclusivement à ceux qui résistaient ). Ces barbares qui faisaient pression et qui étaient comme sortis des bouches de l’enfer, portaient un nom :[** les Huns*].

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En fait, la situation était un peu plus compliquée. Ces réfugiés paniqués, qui étaient des [**Goths*], avaient atteint l’apogée de leur puissance juste avant ce désastre, mais, en [**375 après JC*], la mort de leur roi [**Hermanaric*] avait semé le désordre. Il n’aura fallu que quelques mois pour que l’empire des Goths tombe en désuétude, poussant ces barbares vers la débandade jusqu’au confins de l’empire romain, au bord du Danube, en 376 après JC. Quant aux Huns qui les pourchassaient, leur supériorité technologique et tactique était patente, grâce a leur arc à double courbure, merveille de précision et de pénétration, à leur épée à double tranchant, et à leur tactique de fuite simulée suivie de retournement brutal, connue sous le nom de « flèche du Parthe ».|right>

Les migrants Goths tétanisés qui s’agitaient de l’autre côté du fleuve pour quémander le droit d’entrer dans l’Empire romain, étaient donc prioritairement des réfugiés « politiques », en somme, puisque leur vie était clairement en danger, mais aussi des migrants économiques, recherchant une vie meilleure et un avenir plus assuré.

Installés sous des tentes de fortunes au bord du Danube, de l’autre côté de la terre promise, soumis à une pluie incessante qui faisaient monter les eaux, les réfugiés attendaient dans l’angoisse qu’on leur ouvre la frontière, gardée par l’armée romaine; certains des réfugiés, à bout de force, désespérés, cherchant a forcer le destin, essayèrent même de traverser le grand fleuve sur des embarcation de fortune, ou même à la nage, mais la plupart d’entre eux se noyèrent. La situation humanitaire devenait plus qu’effroyable.

[**L’Enfer en est pavé!*]

Au centre du pouvoir romain, très loin de là, au Consistoire, qui réunissait les ministres et l’empereur, on suivait l’affaire de près et on débattait de l’attitude à prendre face a cette situation de crise. Depuis que [**Constantin*] avait fait du christianisme, en [**313 après JC*], la religion de l’Empire, la situation n’était plus tout à fait la même. En effet, l’’Empire immortel et tout puissant jouissait d’un prestige énorme dans le monde entier, sa mission civilisatrice lui interdisait de se comporter d’une manière indigne, et même si, comme on vient de le voir, les idéaux chrétiens y étaient pour quelque chose, laisser ainsi mourir des populations entières de réfugiés demandant l’asile, sans rien faire, était impossible dans ce climat d’idéologie humanitaire et universaliste; la force de l’exemple de l’Empire, son « soft power », entrait en ligne de compte dans la décision à prendre. [**Plutarque*] ne considérait-il pas d’ailleurs que Rome était une terre d’asile, et [**Tite-Live*] avançait, dans Histoire romaine, que cette politique d’accueil, proclamée dès [**Romulus*], était la cause de la grandeur de Rome; le chef de l’état était ainsi le père de l’humanité toute entière et pas seulement celui de son propre peuple. Il devait se montrer digne et à la hauteur de la situation.

Certes, dans les bureaux, les fonctionnaires était plus cyniques et on faisait valoir d’autres considérations, bien plus pragmatiques; ces réfugiés fourniraient de la main d’oeuvre abondante et bon marché, et feraient fonctionner l’économie de l’Empire, un Empire qui par endroit se désertifiait faute d’entretien ( sans compter que les réfugiés, une fois installés, payeraient consciencieusement leurs impôts ). De plus, les Romains répugnaient de plus en plus à s’engager dans l’armée, et les barbares y prenaient de plus en plus de place; voilà donc de nouvelles et belles recrues en perspective. Mais de cela, on ne parlait pas publiquement, pas du tout : le discours n’était basé que sur des valeurs humanitaire d’accueil et de générosité. |left>

Finalement, la décision fut prise, l’humanisme avait pris le dessus; on accepterait ces malheureux, des secours humanitaires seraient organisés, on leur promettrait un toit et du travail, et ils pourraient ainsi s’intégrer et refaire leur vie dans le Grand Empire Universel. Cette décision fut accueillie avec soulagement par les réfugiés au bord du désespoir. Il ne restait plus qu’à transporter toutes ces familles innombrables de l’autre côté du Danube, ce qui prendrait plusieurs semaines, en convois ininterrompus, de jour comme de nuit, tant la foule des réfugiés était immense. Finalement, au bout du compte, la réputation de l’Empire, et sa bonne conscience, seraient sauvés. Sauvés ? Sauf que…

Sauf que tout le monde n’était pas forcément d’accord avec cette décision humanitaire. Certains esprits grincheux y voyaient beaucoup plus d’inconvénients que d’avantages. Certes, l’idéologie du moment voulait que ces malheureux réfugiés, qui inspiraient surtout la peur et ne semblaient à priori connaître que la force et la rapine, pouvaient finalement, selon la doxa officielle, faire d’honnêtes citoyens une fois qu’on leur aurait donné du travail et de quoi faire vivre leur famille. C’était en tous cas ce que proclamait la propagande impériale et ce que ressentait majoritairement l’opinion publique. D’ailleurs, des militaires ayant massacrés des réfugiés qui tentaient de passer illégalement la frontière furent prestement relevés de leurs fonctions et passés en jugement. Ces Goths allaient se « romaniser », s’intégrer en somme, et faire d’autant bons soldats qu’ils détestaient ces « sales Huns », comme ils les qualifiaient eux-même. Et c’était souvent vrai : des nombreux chefs barbares prirent des noms latins et [**Eudoxie*], fille du général franc [**Bauto*], deviendra même impératrice. D’ailleurs, jusqu’en 400 après JC, la moitié des généraux furent d’origine barbare, et après cette date, il n’y eut plus, en tout et pour tout, qu’un seul général « souchard » d’origine romaine !!! L’intégration des officiers généraux barbares fut donc un vrai succès, même si, au fond, l’ennemi était quand même dans la place. |center>

Bien sûr, tout le monde ne partageait pas cette vision idyllique : l’historien [**Ammien Marcellin*], qui avait vécu ces événements, voyait dans ces réfugiés une foule « d’épouvantables gueux  » ( « plebs truculenta » ), qui finiraient bien par renverser l’Empire; et, selon ses propres termes, « un soin diligent fut déployé pour ne pas abandonner à l’arrière un seul de ces hommes destinés à renverser l’empire…  ». C’était également l’opinion de [**Synésios de Cyrène*], qui énonçait « que ces hommes blonds, chevelus comme des Eubéens, soient dans le même peuple les esclaves des particuliers et les maîtres de l’état, voilà le plus déroutant, le plus extravagant des spectacles  ». Et de fait, l’armée allait mal et seul [**Végèce*], qui avait vu juste, publia à l’époque un traité d’art militaire ( bien que n’étant pas soldat ), « Epitoma rei militairesA VA », dans lequel il proposait de réformer l’armée, de moderniser son équipement, et de rétablir l’exercice quotidien des soldats, abandonné depuis longtemps.

[**La valse des deniers publics*]

Tout allait donc pourtant pour le mieux dans le meilleur des mondes, les Goths étaient contents, l’Empereur était content, l’opinion publique était contente, et les fonctionnaires de l’Empire aussi. Sauf que…sauf que, régnait dans l’Empire une corruption hélas endémique. Le transfert des réfugiés se fit donc dans la plus grande confusion, les réfugiés se retrouvèrent infiniment plus nombreux qu’on ne l’avait pensé, et, surtout, l’argent destiné a cette opération humanitaire fut détourné par le duc [**Maximus*], commandant des troupes de la frontière, et par le comte [**Lupicinus*], gouverneur militaire de Thrace; de telle sorte que, faute de moyens, les conditions d’hygiène dans les structures d’accueil se révélèrent épouvantables, les rations alimentaires largement insuffisantes, et ceci face à des masses de réfugiés de plus en plus nombreuses; et les soldats se mirent à vendre des denrées alimentaires aux réfugiés à prix d’or. Il n’est donc pas surprenant que le chaos s’installa rapidement dans les camps de transit, tandis que la situation devenait explosive; alors qu’à Constantinople régnait [**Valens*], fanatique religieux, adepte de l’arianisme, frustre, peu instruit, mais travailleur, désireux de bien faire et surtout très impopulaire. Bref, le cocktail était éminemment inflammable.

Les ordres de l’empereur étaient pourtant clairs : accompagner les réfugiés à travers la Thrace vers leur lieu final de destination. Mais les autorités romaines locales retardèrent l’exécution de ces ordres le plus longtemps possible afin de continuer à détourner les précieux subsides destinés aux réfugiés. Finalement, un long convois de chariots tiré par des boeufs et encadré par l’armée romaine finit par se mettre en branle, dégarnissant ainsi la frontière du Danube, permettant à des milliers de nouveaux réfugiés d’entrer dans l’empire illégalement et sans aucune résistance. N’oublions pas cependant que les Goths, même terrorisés par les Huns, restaient toujours de redoutables guerriers. Ils étaient menés par un chef charismatique, [**Fritigern*]. Après une sombre histoire de banquet ayant mal tourné à Marcianopolis, situé dans l’actuelle Bulgarie, et la poursuite des mauvais traitements que subissaient patiemment les Goths depuis bien trop longtemps, ceux-ci finirent, en désespoir de cause, par se révolter et un violent conflit armé s’engagea entre les Goths et l’armée romaine. Une guerre de razzias, de guérilla et de contre guérilla s’engagea, avec quelques batailles épiques, comme celle des Saules, bataille qui se termina par une sorte de match nul.|left>

La bonne tenue militaire des Goths ne doit cependant pas nous étonner, car l’idée que l’on peut se faire aujourd’hui des barbares et des Romains est sans doute biaisée. Beaucoup de chefs barbares étaient largement romanisés; et de l’autre côté, parmi les hauts gradés de l’armée romaine, les généraux « issus de l’immigration » et promus au mérite, comme c’était la règle dans l’armée romaine, étaient devenus plus romains que les Romains : bien que d’origine barbare, parfois de deuxième ou troisième génération, s’il fallait combattre les Goths, leurs anciens frères en somme, au nom de la grandeur de Rome, cela ne leur posait aucun problème. C’était le cas de [**Richomer*], envoyé par [**Gratien*], empereur d’Occident ( depuis l’instauration du système de la Tétrarchie établi par [**Dioclétien*], il y avait un empereur d’Orient et un empereur d’Occident ), et qui était d’origine franque. Richomer combattra fidèlement les Goths, sans rechigner.

[**Fin de partie : Sebastianus gagne et perd*]

Cela faisait donc maintenant presque deux ans que les Goths, incontrôlables, terrorisaient et massacraient des civils à l’intérieur même de l’Empire, semant la terreur en Thrace et mettant en danger la cohésion de Rome. [**Valens*] avait jusque là envoyé sur le terrain des officiers médiocres, voire incompétent, sans grand résultat.

On se décida alors à sortir de sa retraite un officier exceptionnel, [**Sebastianus*].
Sebastianus était haï de la cour et des conseillers : réputé meilleur général de son temps, resté pauvre car pas corrompu, soucieux de la vie de ses hommes auprès desquels il était populaire, il avait tout pour se faire détester des proches de l’empereur et on l’avait mis à la retraite, qu’il avait prise en Italie. Pour Sebastianus, revenu aux affaires, la situation était claire : il ne fallait pas affronter les Goths en terrain découvert, mais les harceler par des techniques de contre-guérillas. On lui demanda combien il lui fallait d’hommes, et il répondit 2.000, ce qui surprit Valens car c’était bien peu. Mais, dans un pur style des « Douze salopards », ou dans celui de [**Richard Marcinko*], patron de la Team Six des Navy Seals (1), il ajouta qu’il devait les choisir lui-même, un par un. Ce qu’il fit.

Fort de ses 2.000 hommes d’élite, il fit subir aux Goths de lourdes pertes.
Mais Valens ne pouvait indéfiniment compter sur le talent d’un seul homme, détesté de surcroît. Il leva donc une armée afin de régler le problème Goth une bonne fois pour toutes. L’armée de Valens arriva près d’[**Andrinople*], dans les Balkans, où se trouvait les Goths et où [**Valens*], empereur d’Orient, retrouva [**Sebastianus*] et [**Richomer*], lequel lui indiqua que [**Gratien*], empereur d’Occident, envoyait une armée en renfort.

Fallait-il attaquer les Goths tout de suite ou attendre l’armée de Gratien ? Lors d’un conseil de guerre, [**Victor*], fils de Sarmate, conseilla la prudence et d’attendre l’armée de Gratien, tandis que Sebastianus, grisé par ses succès, conseilla d’attaquer tout de suite. On était à fronts renversés : le Sarmate Victor prit une position prudente typiquement romaine, le Romain de souche Sebastianus une position d’agressivité barbare. Valens écouta stupidement Sebastianus, funeste erreur. |center>

Le [**9 août 378*], à Andrinople,15.000 fantassins romains et 10.000 barbares s’affrontèrent, mais Valens ne savait pas qu’une puissante armée de cavaliers Goths était partie chercher du fourrage et n’avait pas été repérée par les Romains. En apparaissant opportunément au milieu de la bataille, la cavalerie Goth mit l’armée romaine en déroute. Sebastianus et Valens furent tués, la [**bataille d’Andrinople*] fut un désastre total, un des pires de l’histoire romaine. Dans l’Empire, la nouvelle de cette défaite totale fut reçue avec incrédulité, suivi d’un immense traumatisme; soudain, les Romains se mirent à avoir peur. Pour de nombreux historiens de la Rome antique, la bataille d’Andrinople marque le commencement de la fin.

En[** janvier 379*],[**Théodose*], un des généraux de Gratien, fut déclaré empereur d’Orient à la place de [**Valens*], mort à Andrinople. Il deviendra [**Théodose le Grand*], et avec Gratien, il reprirent peu à peu l’avantage sur les Goths, avec lesquels il signèrent finalement un accord de paix. |right>

Le thème selon lequel les barbares pouvaient s’intégrer harmonieusement à l’armée romaine et devenir de bons Romains chrétiens et disciplinés, devint à nouveau un thème de prédilection et s’imposa sous cet empereur. En fait, l’Empire romain avait plus que jamais besoin des barbares pour reconstituer ses légions; les barbares étaient devenus de plus en plus indispensables à la défense de l’empire, il s’agissait donc, coûte que coûte, des les intégrer et d’en faire de bons citoyens romains. [**Saint Jérôme*] comparera l’empire à un colosse aux pieds d’argile et annonça la fin des temps. A cet époque, on commença d’ailleurs a dire « un Goth » pour dire un soldat. |center>

Petit à petit, cependant, un nouveau phénomène allait apparaître. Jusque là, dans les cercles du pouvoir, on envisageait l’intégration des barbares comme étant possible et très positive, mais pourtant, après Andrinople, un parti anti-barbare apparut dans l’entourage même de l’empereur. Certains Romains influents, sans devenir racistes, reprirent le thème selon lequel la position des Goths dans l’empire devenait bien trop prééminente; pas celle des barbares en général, mais celle des Goths en particulier, que Rome avait commis l’erreur de laisser entrer armés dans l’empire. Ces Romains anti-barbares estimaient que, décidément, les Goths prenaient trop d’influence dans les cercles du pouvoir. Il y avait ainsi deux camps : ceux qui, au nom de l’Universalisme, se félicitaient de voir entrer tant de barbares dans l’empire, et ceux qui, par contre, estimaient dangereux de les laisser prendre autant d’influence. Ces derniers n’étaient pas par principe contre l’entrée des barbares, mais pensaient qu’il fallait les admettre en nombre limité afin de pouvoir les intégrer. L’intégration était la clef. Ces deux positions devinrent de plus en plus irréconciliables.

[**Epilogue*]

Un de ces généraux romains d’origine Goth fut [**Alaric,*] qui, en [**410*], dirigea[** le sac de Rome*]. Que dire ? Comme le grand historien [**Alessandro Barbero*] l’écrit dans son très excellent livre « Le jour des Barbares » ( Flammarion, 2006 ), qui a inspiré cet article : « Alaric était un homme qui avait au moins deux identités : il était Alaric, le chef de guerre auquel de nombreux Goths avaient juré fidélité…, et il était Flavius Alaricus, le général romain, magister militum. Aucune de ces deux identités n’était fausse, elles étaient vraies toutes les deux ».

[**Jacques Trauman*]|right>


(1) [**Richard « Dick » Marcinko*] ressemble énormément à [**Sebastianus*], pour ses méthodes terriblement efficaces et non-conventionnelles, et aussi par son côté baroudeur. Peu apprécié ( pour le moins ) de ses collègues et de ses chefs, en raison de ses pratiques abrasives et de son tempérament hors norme, li ne put intégrer les Marines car il n’avait pas le bac. Il intégra finalement les Navy Seals, unité de commandos d’élite, en 1966, participa à la guerre du Vietnam, et réussit à obtenir une licence en relations internationales et une autre en sciences politiques. Après la crise iranienne des otages en 1979, Marcinko fut chargé de créer la [**SEAL Team 6*], unité super performante dont il choisit personnellement et un par un tous les membres ( exactement comme Sebastianus ); puis il fut chargé de l’unité Red Cell de la Marine. Son efficacité au combat était exceptionnelle. C’est la Team 6 qui exécutera [**Ben Laden*] en Afghanistan, et ils apparaissent dans de nombreux films tels que « La chute du faucon noir », « Captain Phillips », « Lone survivor », « American sniper », etc… Marcinko fut mis en examen en 1989 pour conspiration, conflit d’interêt et corruption ( « une chasse aux sorcières  », dira t-il ), et fut condamné à 21 mois de prison. Il est maintenant patron d’une société de sécurité privée et participe a de nombreuses émissions télévisées.


Illustration de l’entête: Barbare combattant un légionnaire romain. H : 0.84 m, L : 0.88 m. Haut empire romain. Photo (C) RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / René-Gabriel Ojéda


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WUKALI Article mis en ligne le 04/06/2019

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