Gaston Thivet n’est pas le seul Français ayant disparu dans l’immensité de la Russie à la fin de la Seconde Guerre mondiale et qui est réapparu lors de la fin de l’URSS. Il n’est pas le seul qui est parti volontairement, par amour avant tout, plus que par idéologie, à l’est. Il n’est pas le seul qui est tombé sous les mâchoires de la machine inhumaine du système soviétique.
Histoire
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La Shoah, pierre de touche de l’entrée de l’Ukraine dans la Communauté européenne
par Revue de pressepar Revue de presseL’insupportable agression de la Russie contre l’Ukraine se combine avec le fait que le pays attaqué témoigne d’un rapport pour le moins problématique avec son passé. L’histoire de sa construction nationale et sa mémoire trouée de la Shoah violentent parfois la mémoire juive. Boris Czerny, professeur à l’université de Caen, dans une article publié le 24 mai dans la revue K et que nous avons sélectionné pour notre revue de presse, revient sur la place accordée à la Shoah en Ukraine et s’interroge sur ce qu’elle signifie dans le débat concernant la perspective de son éventuelle intégration à l’union européenne.
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Au musée de l’Armée, exposition: les combats oubliés des Forces Françaises Libres, la campagne de Tunisie
par Communiquépar CommuniquéDernière campagne de la guerre menée en Afrique du Nord contre les forces germano-italiennes, la campagne de Tunisie voit l’engagement au combat de différents éléments des Forces Françaises libres : les troupes du général Leclerc venues du Tchad et les unités ayant combattu précédemment aux cotés des Britanniques en Érythrée, Syrie et Libye.
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1886 : l’Affaire Jules Watrin, un fait divers social tragique
par Félix Delmaspar Félix DelmasCe 26 janvier 1886, une grève commence et se finit par le vrai calvaire de Jules Watrin, sous- directeur de la compagnie qui s’achève par sa mort après avoir été défenestré et roué de coups. Les causes de cette grève sont multiples comme une baisse des salaires, la création d’une coopérative qui, sous l’excuse de faire baisser les prix alimentaires, lient encore plus les ouvriers à l’entreprise et risquent de détruire les commerces locaux
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Maximilien Robespierre, que n’a-t -on écrit vous concernant !
par Félix Delmaspar Félix DelmasPour autant, Robespierre ne fut pas un « Saint » martyrisé par ces collègues. C’était un homme de son temps, bien que parfois en désaccord, c’était un adepte de Jean-Jacques Rousseau, qui ne l’oublions pas est le premier théoricien de la dictature ! Personne ne remet en cause la sincérité de Robespierre et si parfois il a évolué, c’est avant tout parce que la société avait évolué, que les faits avaient changé. Il était contre la guerre, celle-ci déclarée, force a été de l’accepter. Et à ce niveau, son action a été minime, rien avoir avec l’action d’un Carnot.
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Notre époque est à la reconstruction des esprits, certains parlent de refondation, indubitablement !…
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L’auteur, Vincent Baricault, pose dans une brillante présentation digne d’un cours de toute bonne académie ou école du renseignement, parfaitement le cadre. Ainsi, qu’est ce qu’espionner, quels en sont les acteurs, quel en est la finalité, le contenu ?
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Dans ce nouveau livre, cet essai d’à peine plus de 170 pages, Maxime Michelet s’attache à réhabiliter la mémoire de cet empereur, de dénoncer les contre vérités que, durant des décennies, les élèves des écoles de la République ont apprises. Il faut dire que Napoléon III a eu comme premier adversaire Victor Hugo puis les Républicains qui ne pouvaient s’affermir à une époque où l’idée même de République était loin d’être partagée par la population, qu’en ayant une sorte de « repoussoir » : le régime politique (l’empire) et son symbole (l’empereur) qui l’avaient précédée.
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Qu’est-ce qu’un traître ? De fait la réponse est bien plus difficile qu’elle n’y paraît. Assez simple quand on était dans des liens de vassalité : trahir, c’était ne pas tenir son serment.
En fait, il paraît que tout est une question de point de vue. On peut être considéré comme traître, tout en se sentant légitime : les émigrés, sous la révolution, ne se considéraient pas comme étant des traîtres, mais comme les défendeurs de leurs idées qui n’étaient plus celles de leur pays. Les participants à un complot sont-ils des traîtres ? C’est évident pour les titulaires du pouvoir, mais certainement pas pour ceux qui complotent.
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Exposition Haine des clans-Guerres de religion. À voir au musée de l’Armée aux Invalides
par Communiqué muséepar Communiqué muséeLa seconde moitié du XVIe siècle constitue la « part sombre » de la Renaissance,…