Si[** Berlioz*] (1803-1869) est un musicien romantique et bien entendu il l’est, et qui nous emporte dans la passion, nous parle duels ou amours contrariés, nous fait voyager en Orient ou en Italie, nous fait rencontrer des vauriens, des démons et autres créatures infernales, il ne faut pas oublier sa musique religieuse qui désarçonna en son temps le public français et ravit en revanche outre Manche-ou en Allemagne des foules enthousiastes. Dire que les salles parisiennes furent froides lors de la création de [**L’Enfance du Christ*] (1850-1854), ce n’est rien moins qu’un euphémisme et Berlioz en souffrit. Inconstance et esprit grégaire, décalage de la société avec les visionnaires et les artistes. Tellement banal, rien n’a changé !


C’est cette histoire, la genèse de cet oratorio cette trilogie sacrée pour solistes, chœur, orchestre et orgue que présentera [**Danielle Pister*], vice-présidente du Cercle Lyrique de Metz lors d’une conférence à [**L’Arsenal*] de Metz, le [** dimanche 4 décembre à 15h*]. L’entrée est libre et gratuite. Qu’on se le dise !

[**P-A L*]|right>

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WUKALI 28/11/2016

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