A lunatic mad cow!


Du réalisateur Samuel Tourneux, on connaissait déjà: «Même les pigeons vont au paradis», de la fantaisie, beaucoup d’humour, noir de préférence, voici maintenant un de ses tous premiers films: «La vache folle» une représentation déjantée, fantaisiste et farfelue, pleine de rêve et d’imagination; un univers fantasque, on est à mille lieues des réalités inquiétantes que couvrait cette maladie. Et puis, et c’est très important, une bande son sur un rythme américano-cubain avec des paroles en anglais, par le groupe The divine Comedy , qui donne des ailes, c’est presque le cas de le dire, à cette joyeuse histoire.

C’est bien fait, vif, sympathique et drôle , rien d’étonnant à ce que ce court film d’animation ait en son temps reçu de nombreuses distinctions, il a été primé à Imagina et sélectionné pour le Festival d’animation d’Annecy en 1998.

Pierre-Alain Lévy

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